Crime de guerre ukrainien dans le village de Rousskoïe Poretchnoïe à Koursk
Par Foreign Policy News le 1er février 2025
Réponse de Maria Zakharova, porte-parole du Ministère russe des Affaires étrangères, aux médias au sujet des nouvelles informations sur l'enquête portant sur les atrocités commises par les forces armées ukrainiennes dans le village de Rousskoïe Poretchnoïe, dans la région de Koursk.
Question: Hier, le Comité d'enquête de Russie a publié de nouvelles informations sur les atrocités commises par les forces armées ukrainiennes dans le village de Rousskoïe Poretchnoïe, dans la région de Koursk. Les propos des médecins légistes et des militaires sont notamment cités et témoignent de la cruauté inhumaine avec laquelle les civils ont été tués. La Russie exigera-t-elle que ces crimes soient condamnés par les organisations internationales?
Réponse: Le Ministère russe des Affaires étrangères a déjà présenté une évaluation détaillée de ces atrocités commises par le régime de Kiev.
Au cours de la conférence de presse, des photos et des vidéos ont été diffusées et les journalistes ont été choqués.
Les correspondants qui ont vu beaucoup de choses ne pouvaient pas croire qu'une telle cruauté inhumaine était possible au XXIe siècle, mettant à nu la nature animale de la racaille terroriste. Les informations qui ont été révélées, et notamment le fait que les nazis ukrainiens ont ouvert le feu pendant l'évacuation par les troupes russes des corps de civils morts dans le village de Rousskoïe Poretchnoïe, confirment une fois de plus la nature criminelle du régime terroriste de Kiev.
De toute évidence, les extrémistes étaient conscients de commettre un grave acte criminel et tentaient de détruire les preuves.
Nous pensons qu'il est extrêmement important de faire connaître à l'ensemble de la communauté internationale les informations sur les crimes commis dans les territoires temporairement occupés de la région de Koursk. Les organismes russes disposent déjà d'un ensemble exhaustif de preuves des opérations punitives néonazies contre la population civile, qui est protégée par un certain nombre de conventions internationales, y compris les dispositions contraignantes de la quatrième Convention de Genève.
Le caractère sélectif de la répression exercée par les combattants à l'encontre des catégories de la population les moins protégées du point de vue social, à savoir les personnes âgées, doit faire l'objet d'une attention particulière.
Nous partons du principe que la nature sanglante des actions des combattants de Kiev dans la région de Koursk devrait être largement révélée sur les plateformes internationales: les Nations unies, l'OSCE et leurs structures pertinentes, notée par les représentants du Comité international de la Croix-Rouge, et faire l'objet de procédures au sein des mécanismes internationaux de défense des droits de l'homme, y compris les organisations non gouvernementales.
URL de l'article en russe:
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